
La Terre / les portes / les Forces et la libération des Sceaux.
- Jeremie Daniel

- 5 déc. 2023
- 3 min de lecture
3.Par quatre portes sortent des vents de bénédiction et de salut, et par les huit autres des vents de désolation.
Quand ils en ont mission, ils corrompent la terre et ses habitants, l’eau et tout ce qui vit dedans.
4.Le prince des vents sort par la porte placée à l’orient et par la première porte à l’orient qui s’incline vers le
midi. Ce vent apporte la destruction, l’aridité, la chaleur suffocante et la corruption.
5.De la seconde porte, qui est au milieu, sortent l’égalité ou la juste mesure de toutes choses, la pluie, la fertilité,
la salubrité et la force ; de la dernière porte, tournée vers le nord, proviennent le froid et l’aridité.
6.Après ces vents viennent les vents du Notus, qui soufflent par trois portes principales ; par la première,
tournée vers l’orient, s’échappe le vent chaud.
7.Mais par la porte du milieu s’exhale une odeur agréable, la rosée, la pluie, le salut et la vie.
8.De la troisième porte, vers l’occident, proviennent la rosée, la pluie, la nielle et la perdition.
9.Les Aquilons soufflent par trois portes. De la septième, placée près de celle qui regarde le midi, sortent la
rosée, la pluie, la nielle et la perdition. De celle du milieu viennent la pluie, la rosée, la vie et le salut. De la
troisième porte, tournée à l’occident, mais se rapprochant du nord, viennent les nuées, les glaces, la neige, la
pluie et la rosée.
10.Viennent ensuite, dans la quatrième région, les vents occidentaux. De la première porte sortent la rosée, la
pluie, la glace, le froid, la neige et la gelée ; de la porte du milieu, la pluie, la rosée, le calme et l’abondance.
11.De la dernière, du côté du midi, l’aridité, la destruction, la sécheresse et la mort.
12.Ainsi se termine la description des douze portes placées aux quatre coins du ciel.
13.Toutes leurs lois, toutes leurs influences bonnes ou mauvaises, je te les ai expliquées, ô mon fils Mathusala !
CHAPITRE 76
1.Le premier vent s’appelle oriental, parce qu’il est le premier.
-Ezek 42:20-
2.Le second, se nomme vent du midi, parce que c’est à ce moment que descend l’Éternel, le Béni à jamais.
3.Le vent d’occident, s’appelle encore vent de la diminution parce que c’est de son côté que tous les luminaires
célestes s’affaiblissent et descendent.
4.Le quatrième vent, le vent du septentrion, se subdivise en trois parties ; l’une est consacrée à l’habitation des
hommes, l’autre est occupée par des lacs, des vallées, des forêts, des rivières, des lieux couverts de ténèbres ou de
neige ; la troisième enfin, est le paradis.
5.Je vis sept montagnes plus hautes que toutes les montagnes de la terre, d’où sortent les frimas, les jours, les
saisons, et les années y vont et s’y évanouissent.
6.Je vis sept fleuves sur la terre, plus grands que tous les autres fleuves ; l’un coule de l’occident à l’orient, et va
se jeter dans la grande mer.
7.Deux autres coulent du nord à la mer, et vont se jeter dans la mer Érythrée, vers l’orient. Quant aux quatre
autres, deux coulent du nord vers la mer Érythrée, les deux derniers vont se jeter dans la grande mer, là où se
trouve un immense désert.
8.Je vis sept grandes îles sur cette mer, deux proches de la terre, cinq dans la grande mer.
CHAPITRE 77
1.Les noms du soleil sont : Oz-iâres et Tomâs.
2.La lune a quatre noms : le premier est Asonia, le second Ebla ; le troisième Benaces, et le quatrième Erae.
3.Tels sont ces deux grands luminaires, dont les orbites sont comme les orbites du ciel, et dont les dimensions
sont égales.
4.Dans l’orbite du soleil, il y a sept parties de lumière, qui sont réfléchies par la lune. Ces sept parties vont
frapper la lune jusqu’à la dernière. Ils sortent par la porte de l’occident, après avoir éclairé le septentrion, et
reviennent dans le ciel par la porte de l’orient.
5.Lorsque la lune se lève, elle apparaît dans le ciel ; et elle est éclairée par la moitié de la septième partie de la
lune.
6.Cette lumière se complète au bout de quatorze jours.
7.Bientôt se complétèrent trois fois cinq parties de lumière, en sorte qu’après quinze jours, elle soit arrivée à sa















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